Ceux qui inventent, créent, tous ceux qui ont des idéaux, le Parti jeanmarquiste a décidé de les appeler « les pigeons ». Les pigeons lisent, élisent, et puis on les empaille. Parfois ils se soulèvent, font des révolutions. D’autres fois, le parti leur laisse un moment croire que les histoires peuvent pêtre changées. Que même la Grande, on peut la faire vibrer.
Alors les pigeons rêvent… Ce roman leur est dédié.